On nous dit de faire du sport. Qu’il faut être constante. Surtout, si l’on souffre d’une condition chronique. D’en faire de façon régulière. De ne pas lâcher. Que l’activité physique peut devenir un réel remède à nos maux. Mais plusieurs femmes, souffrant de TDPM, d’endométriose, de la condition d’Hashimoto, du SOPK, de la Maladie de Lyme, de Fibromyalgie et du Syndrome de fatigue chronique, ne semblent pas toujours si bien réagir à l’activité physique. Pourquoi donc ?

Le Trouble Dysphorique Prémenstruel est reconnu comme un trouble de l'humeur par LA bible psychiatrique. J'oscille toujours entre l'envie d'embrasser les psychiatres d'avoir osé poser sur papier ce diagnostic et celle de crier sur les toits qu'il faut arrêter de psychiatriser les femmes. Je ne suis pas à une contradiction près.

La ménopause est - trop- souvent associée à des images de vieillesse et de perte de vitalité. Pour certaines, elle peut être vécue avec délivrance (fini les menstruations !!!) et pour d'autres, avec souffrance. Chose certaine, personne ne nous en parle et on se retrouve souvent démunies face à tous les changements hormonaux que subit notre corps. Et notre tête. Il est grand temps d'en parler. Et surtout, de l'assumer !

Existe-t-il des traitements pour guérir du Trouble dysphorique prémenstruel ou d’un SPM extrême ? Peut-on soulager les symptômes qui nous affectent mois après mois ? Que nous propose la médecine ?

Votre syndrome prémenstruel est extrême ? Il prend tout l’espace dans votre vie ? Vos crises de colère et de tristesse sont si intenses, et votre perte de repères tellement grande, que vous avez parfois l’impression de devenir folle ? Vous avez l’impression de perdre la tête pendant plusieurs jours par mois ? Et vous constatez que ces périodes infernales coïncident avec votre période prémenstruelle ? Dans ce cas, il pourrait être utile de poursuivre la lecture de cet article !

Même si aux prises avec des bouffées de chaleur- acné hormonale-crampes menstruelles insupportables-perte concentration et de libido-crise de rage-insomnie-perte de cheveux- etc., on a le droit de s’épanouir, de rêver et de se réaliser. Voici mon rituel annuel qui me permet d’identifier mes rêves et mes priorités, mais surtout de les manifester !

ENDOMÉTRIOSE. Un mal qui m'a déchiré les entrailles, plongée dans la noirceur et clouée au lit. À TOUS les mois. Pendant 27 ans. Nous sommes 1 femme sur 10 à en souffrir. Et pourtant, il faut se battre pendant près de 9 ans avant de pouvoir obtenir un diagnostic. Avoir vu, en moyenne 6 médecins, avant d'être entendue et comprise. Ce n'est pas normal. Il faut que ça change. Parlons-en !

Après des années et des années de souffrance, j’ai vu un guérisseur pour être enfin soulagée de mes maux hormonaux. Voici mon expérience.

Après des années et des années de souffrance, j’ai vu un guérisseur pour être enfin soulagée de mes maux hormonaux. Voici mon expérience.

L’alimentation peut jouer un rôle important, si non primordial, dans la guérison d’une condition chronique. La façon d’aborder la guérison du Trouble dysphorique prémenstruel, l’endométriose ou une autre condition hormonale ne devrait pas faire exception. Que l’on privilégie le régime Keto, végétarien, vegan, paleo, cru, méditerranéen ou autre, l’élément commun, dans le processus de guérison, constitue la consommation d’aliments “sains” et non transformés. Mais comment faire pour connaître le régime qui nous convient le mieux ? Pour ma part, j’ai tout testé. Tout essayé. Voici mes apprentissages.

Vous venez de découvrir l’existence du Trouble dysphorique prémenstruel (TDPM). Vous n’en croyez pas vos yeux. Ça fait juste 5, 10 ou 35 ans que vous pensiez que tout était de votre faute. Que tout était dans votre tête. Que vous étiez simplement trop émotive. Juste mal adaptée. Et puis voilà que vous vous reconnaissez, mot pour mot, dans un diagnostic. Un diagnostic qui concernerait de 3 à 8% de femmes. Vous en ressentez du soulagement, une joie presque. Vous n’êtes donc pas seule ! Mais rapidement une question s’impose: « mais maintenant, je fais quoi ?

Après des décennies à souffrir du Trouble dysphorique prémenstruel, et d’endométriose, j’ai demandé – supplié serait plus exact – à ma gynécologue qu’on retire mon utérus et mes ovaires. Pour moi, et pour beaucoup de femmes vivant avec ces conditions, l’ovariectomie (et l’hysterectomie) constituaient mon dernier recours. Celui de la dernière chance.