Femmes souffrant de conditions chroniques. L’exercice physique peut-il vous faire du tort ?
On nous dit de faire du sport. Qu’il faut être constante. Surtout, si l’on souffre d’une condition chronique. D’en faire de façon régulière. De ne pas lâcher. Que l’activité physique peut devenir un réel remède à nos maux. Mais plusieurs femmes, souffrant de TDPM, d’endométriose, de la condition d’Hashimoto, du SOPK, de la Maladie de Lyme, de Fibromyalgie et du Syndrome de fatigue chronique, ne semblent pas toujours si bien réagir à l’activité physique. Pourquoi donc ?
Trouble dysphorique prémenstruel : quels traitements ?
Existe-t-il des traitements pour guérir du Trouble dysphorique prémenstruel ou d’un SPM extrême ? Peut-on soulager les symptômes qui nous affectent mois après mois ? Que nous propose la médecine ?
spm extrême: suis-je folle ? Trouble dysphorique prémenstruel
Votre syndrome prémenstruel est extrême ? Il prend tout l’espace dans votre vie ? Vos crises de colère et de tristesse sont si intenses, et votre perte de repères tellement grande, que vous avez parfois l’impression de devenir folle ? Vous avez l’impression de perdre la tête pendant plusieurs jours par mois ? Et vous constatez que ces périodes infernales coïncident avec votre période prémenstruelle ? Dans ce cas, il pourrait être utile de poursuivre la lecture de cet article !
10 conseils si vous suspectez souffrir du TDPM
Vous venez de découvrir l’existence du Trouble dysphorique prémenstruel (TDPM). Vous n’en croyez pas vos yeux. Ça fait juste 5, 10 ou 35 ans que vous pensiez que tout était de votre faute. Que tout était dans votre tête. Que vous étiez simplement trop émotive. Juste mal adaptée. Et puis voilà que vous vous reconnaissez, mot pour mot, dans un diagnostic. Un diagnostic qui concernerait de 3 à 8% de femmes. Vous en ressentez du soulagement, une joie presque. Vous n’êtes donc pas seule ! Mais rapidement une question s’impose: « mais maintenant, je fais quoi ?
Bye bye utérus et ovaires, merci et bon débarras !
Après des décennies à souffrir du Trouble dysphorique prémenstruel, et d’endométriose, j’ai demandé – supplié serait plus exact – à ma gynécologue qu’on retire mon utérus et mes ovaires. Pour moi, et pour beaucoup de femmes vivant avec ces conditions, l’ovariectomie (et l’hysterectomie) constituaient mon dernier recours. Celui de la dernière chance.