10 conseils si vous suspectez souffrir du TDPM
Vous venez de découvrir l’existence du Trouble dysphorique prémenstruel (TDPM). Vous n’en croyez pas vos yeux. Ça fait juste 5, 10 ou 35 ans que vous pensiez que tout était de votre faute. Que tout était dans votre tête. Que vous étiez simplement trop émotive. Juste mal adaptée. Et puis voilà que vous vous reconnaissez, mot pour mot, dans un diagnostic. Un diagnostic qui concernerait de 3 à 8% de femmes. Vous en ressentez du soulagement, une joie presque. Vous n’êtes donc pas seule ! Mais rapidement une question s’impose: « mais maintenant, je fais quoi ?